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Affichage des articles du 2018
"Quand il y a un enfant en danger, il faut prendre toutes les mesures."

-Maître Llorente, avocat d'Éric P.

La justice s'est injustement acharnée pendant un an sur un enseignant injustement accusé du viol d’une élève de Genlis (21) malgré les preuves irréfutables de son innocence :

- Deux sur le même poste, il a été accompagné en permanence d’une collègue le jour des faits supposés.

- Le sperme d'un membre de la famille ayant été retrouvé sur la culotte devrait légitimement induire une nouvelle instruction et permettre le rejet du chef d'accusation.

Comment ne pas émettre des doutes sur le bienfondé de confier l'enquête aux gendarmes de la brigade de proximité alors que la plaignante est une des gendarmes de ce même secteur ?

Pendant que la petite est toujours en danger, le véritable agresseur n'est pas inquiété par la justice.

Nous demandons donc que la justice élargisse ses investigations au vu des éléments recueillis par l'enquête.

Bien que la Cour d’Appel de Dijon ait levée la mise en examen d'Eric, reconnaissant par là son innocence, il a besoin de votre soutien pour que toute la vérité éclate enfin et pour obtenir un non-lieu définitif.

Retrouvez le comité sur les réseaux sociaux :

Viol d’une fillette : la gendarmerie dessaisie au profit de la police judiciaire

Publié le 27/12/2019 Source :  Le Bien Public Près de 500 jours après l’arrestation et la mise en examen de l’instituteur Éric Peclet, soupçonné du viol d’une fillette de 4 ans dans une école de Genlis, le dossier a connu, fin mars, un nouveau rebondissement. L’enquête, menée depuis le début de l’affaire par les gendarmes, leur a été retirée par les magistrats pour être confiée à la direction interrégionale de police judiciaire de Dijon. « Il ne s’agit pas d’une mesure de défiance vis-à-vis de la gendarmerie. L’idée est d’avoir un œil neuf sur le dossier et d’éviter toute polémique. On sait qu’un membre de la famille de la jeune enfant est gendarme et que l’un de ses proches est une piste sérieuse », a expliqué Éric Mathais, procureur de la République de Dijon. Ce dernier a précisé que l’enquête entrait « dans une nouvelle phase ». Par ailleurs, le magistrat instructeur avait décidé de nommer un administrateur ad hoc pour veiller aux intérêts de l’enfant, à la demande de M e

Écolière violée à Genlis : trois gardes à vue… sans présentation au juge

Publié le 12/12/2018 Source :  Le Bien Public Trois membres de la famille de l’écolière de 4 ans violée en novembre 2016, crime pour lequel son instituteur avait été dans un premier temps incarcéré, ont été placés en garde à vue, lundi, à la PJ de Dijon. Des gardes à vue levées hier soir, sans présentation au magistrat instructeur. Lundi matin, trois membres de la famille de l’écolière de 4 ans violée en novembre 2016, à Genlis, étaient placés en garde à vue dans les locaux de la section criminelle de la police judiciaire de Dijon. Il s’agissait de son père, de son oncle et de son grand-père. L’on se souvient que, dans un premier temps, l’instituteur de l’enfant, Éric Péclet, 42 ans à l’époque des faits, avait été placé en garde à vue, puis incarcéré à la maison d’arrêt de Dijon jusqu’à ce qu’en mars 2017, une analyse ADN effectuée sur la culotte de la victime montre que le sperme mêlé de sang qui s’y trouvait était celui d’un membre de sa famille et non celui de l’instituteur

Viol de Genlis : les gardes à vue des trois hommes de la famille levées, l'information judiciaire se poursuit

Publié le 11/12/2018 Source :  Le Bien Public Trois hommes, qui sont des membres de la famille de la petite fille de 4 ans violée à Genlis, ont été placés en garde à vue de lundi matin à ce mardi soir dans les locaux de la direction interrégionale de police judiciaire de Dijon, qui avait été saisie du dossier il y a 9 mois par le juge d'instruction au détriment des gendarmes. Une information confirmée par le procureur de la République. Les trois hommes placés en garde à vue hier par les enquêteurs de la section criminelle de la police judiciaire de Dijon sont le père, l'oncle et le grand-père de la fillette.  Deux autres membres de la famille ont été entendus à titre de témoins. Dans un communiqué, le procureur de la République de Dijon Éric Mathais informe que "le magistrat instructeur a décidé a décidé de lever les 3 gardes à vues ce mardi 11 décembre 2018 en début de soirée. Le magistrat instructeur a donc décidé de ne se faire présenter aucune des 3 personn

Viol d’une écolière à Genlis : nouvelles perquisitions

Publié le 04/12/2019 Source :  Le Bien Public Trois nouvelles perquisitions auraient été menées en Côte-d’Or, en Saône-et-Loire et en Haute-Saône dans le cadre de l’enquête sur le viol, en 2016, d’une fillette de 4 ans, à Genlis. Du côté de la PJ, désormais en charge du dossier, on reste muet… Elle a fait couler de l’encre, l’affaire baptisée « de l’instituteur de Genlis ». C’est que depuis le 17 novembre 2016, on n’est certain que d’une chose : une petite fille, élève de l’école maternelle de la Chênaie, à Genlis (lire ci-dessous) a été violée. Mais on ignore par qui. Son instituteur, désigné dans un premier temps comme l’auteur du viol et incarcéré, a été remis en liberté et n’est plus mis en examen depuis que l’analyse de traces ADN, retrouvées dans la culotte de la petite victime, a démontré que le sperme qui s’y trouvait n’est pas le sien. Depuis, l’instituteur, Éric Péclet, 43 ans, se bat aux côtés de son avocat, M e  Llorente, pour que soit arrêté le véritab

Message du Comité de soutien

Bonjour chers soutiens, Ce samedi, le Bien Public faisait l'écho du rapport médical d'expertise livré dernièrement. Nous vous invitons à le lire sur notre blog : http://soutien-instit-genlis.blogspot.com/2018/10/le-rapport-qui-innocente-linstituteur.html Depuis qu'Éric Peclet n'est plus mis en examen, et placé sous le statut de témoin assisté, lui et son avocat ne peuvent plus faire de demande d'acte au juge d'instruction en charge de cette affaire. Ainsi, c'est Éric qui a dût financer de sa poche le coût des 2000€ de cette expertise indépendante. Heureusement qu'il a pu trouver jusqu'à présent les ressources financières pour organiser sa défense, car vous imaginez bien que cette nouvelle facture n'est pas la première. Il ne vaut mieux pas être un justiciable pauvre et seul lorsque la Justice vous écrase de toute sa lourdeur procédurale ! Ce nouveau rapport démontre, une fois encore, que le sperme présent sur la culotte ensanglantée

Le rapport qui innocente l'instituteur de Genlis

Publié le 6/09/2018 Source : Le Bien Public Une nouvelle pièce s’ajoute au dossier dans l’affaire du viol d’une fillette à Genlis en novembre 2016. Un rapport médical et technique qui étaye la thèse qu’un proche de la victime, propriétaire du sperme trouvé sur un sous-vêtement, mélangé à du sang, serait l’auteur de l’agression. « En conclusion, l’examen des pièces communiquées évoque en premier lieu que les deux taches de sang et de sperme constatées sur les sous-vêtements de l’enfant correspondent respectivement au sang de l’enfant (blessures des lèvres et de l’hymen) et au sperme d’un individu (identifié comme celui d’un proche, ndlr) ayant éjaculé au niveau de la vulve et du périnée. » Des phrases qu’on peine à lire, tellement les faits qu’elles mettent en lumière sont terribles. Mais ces quelques mots pourraient marquer un tournant significatif dans l’affaire. Le rapport qui pourrait tout changer M e Llorente défend Éric Peclet, l’instituteur qui avait été, da

En prison pour rien

Diffusé le 11/09/2018 Source : France 5 En France, sur une population carcérale d’environ 70 000 détenus, près de 30% sont des « prévenus », autrement dit des personnes en détention provisoire. Soupçonnés d’avoir commis un crime ou un délit, elles sont incarcérées pendant l’instruction de l’affaire. Chaque année, des citoyens innocents sont incarcérés à tort pendant des jours, des semaines voire des mois, avant d’être libérés sans même être jugés car la justice, entre-temps, s’est rendue compte de son erreur. Ainsi, en 2015, 576 personnes ont bénéficié d’un non-lieu après avoir été incarcérées. D’autres innocents restent détenus jusqu’à leur procès... où la justice les libère après les avoir acquittés. De nombreux anonymes, dont le calvaire n’est pas médiatisé, connaissent l’injustice de la justice. Ces innocents sont jetés en prison pour des délits qui vont de la simple escroquerie au crime de sang, en passant par le braquage ou l’agression sexuelle. Durée moyenne de